[Quête] Proteger la ferme au verger

M'zelle sautillait, assise sur son rocher, elle applaudissait avec un sourire béa scotché aux lévres.

"Quand j'serai grande j'voudrais faire pareil!"

Himawari se leva puis regarda son maître, un air surpris sur son visage. Là, elle posa son pouce sur ses lèvres, signe qu'elle réflechissait puis elle lacha enfin un :"Mais moi je croyais que c'était pour s'amuser..." Avec une petite voix bougonne.

"M'enfin, j'avais vu euuuuh, nan en fait je sais pas ce que je vais en faire."

Himawari était déjà debout, prête à partir pour de nouvelles aventures.

"Ah! Il faudrait que tu m'apprennes plein des techniques, comme ça, cette fois, les hobbes, et bah j'en tuerai plus!"

Et oui, voilà la face cachée d'Himawari, quand elle commence à être 'normale' avec les gens, elle commence à dire tout ce qui lui passe par la tête, même si c'est stupide.




[Mais ne vous inquiétez pas chers fans, moi qui suis une pro du Rp, je pourrai vous faire une Himawari carrément trop chouette. Enfin bref, en vrai je pense pas continuer à jouer ma perso de cette manière, je crois que je la joue comme ça parce que je suis fatiguée, haha!]

La demoiselle lui sourit gentillement.

"Ouais! Des pruneaux, j'adore ça!"

Et c'est alors qu'Himawari décida de faire étalage de sa culture générale, la demoiselle n'en fût elle pas moins sotte. Cela ne veut rien dire, je le reconnais, je recommence.
Himawari eût alors une idée, lorsque l'homme venait de parler de pruneaux que l'on ne trouvait pas partout, oui, elle se rappellait à présent.

"J'ai entendu parler d'une ville fort fort lointaine, où l'on peut trouver des pruneaux à volonté!"

Himawari secoua sa main dans l'air, comme pour faire disparaître on ne sait quoi.

"J'ai juste entendu parler de cet endroit qui m'a l'air si merveilleux, des pruneaux à volonté, hélas ce n'est qu'un rêve!"

Au final, la demoiselle avait joint ses mains et regardait le ciel, les yeux brillants.

Naïve comme elle l'était :

"Oui, c'est ça, pour rentrer à la maison, assez de forces pour rentrer à la maison, puis enfin te reposer, on le sait."