Fic : La quête du Lionnard

Je suis nouveau (enfin, non, je suis déjà inscrit depuis belle lurette, mais je viens jamaios) et je vous propose une histoire. J'en suis au début du chp 3, et je la post ! Bonne lecture !

Prologue :

Nous sommes en milles neuf cent vingt du calendrier des Oriquiens. La guerre a éclaté entre les deux clans :
· Les Gridares, le clan du mal.
· Les Oratios, le clan du bien.
Comment tout cela a bien pu commencer ? Reprenons depuis le début. Tout a commencé avec les dieux...
-Maître, Maître, dit une voix affolée dans le couloir. Maître, je dois vous donner un message important de la part du négociateur.
-Entre donc, dit Karido.
Karido était le dieu qui avait créé Oriquie, la planète la plus proche de Lonara, le soleil d’Oriquie. Les dieux vivaient sur la planète Yra.
Celle-ci était peuplée d’au moins un million d’habitants, et était pleine de ressources naturelles, malheureusement, la pauvreté existait dans ce monde. La monnaie était le « croste ».
Mais revenons à notre dieu.
-Que se passe-t-il, Sertio, demanda Kirado à son serviteur ?
-Notre négociateur est revenu avec un couteau dans le dos, répondit Sertio. Il a juste eu le temps de nous dire qu’un danger nous menaçait.
Kirado savait ce que cela signifiait. Lorsqu’il avait créé Oriquie, les dieux aussi s’étaient partagés. Il y avait le bon côté, ceux qui soutenaient Kirado, et le mauvais côté, ceux qui étaient jaloux de Kirado car sa planète était la meilleure. En effet, chacun des dieux était chargé de créer une planète. Les mauvais dieux étaient des « Seigneurs Gridares », et les bons dieux étaient des « Seigneurs Oratios ».
-Ils nous ont déclaré la guerre, dit simplement le dieu.
Du côté des Seigneurs Gridares, l’air était plutôt à l’ambiance joyeuse.
-Gniark, gniark, dit Toraz. Avec cette machine à tuer que je viens de finir, je deviendrais le maître absolu du bien et du mal, je prendrais possession d’Oriquie et de tout l’univers. JE SERAIS LE MAÎTRE !!!!! AH AH AH !!!!
Toraz était un misérable dieu méchant que tout le monde avait rejeté. Mais aujourd’hui, il allait enfin pouvoir assouvir sa vengeance. Il allait devenir le dieu le plus puissant et le plus méchant que l’univers ait jamais connu.
-Debout Tzorkio, dit méchamment Toraz. Tu es ma fabrication ! Obéis-moi ! Va tuer quelques Oriquiens pour montrer à ce Kirado qui est le maître.
Tzorkio se regarda deux secondes, puis dit :
-Un, je ne m’appellerai pas Tzorkio. Deux, ici le chef, c’est moi !
Dehors, on entendit un cri de douleur, le cri de Toraz. Celui-ci était mort.

C'est un très bon début, j'èspére que tu vas en faire encore car c'est excellent. Bonne continuation.

Merci Gagalajojo ! Je post la suite dans un instant.

Bon, la fin est un peu théatrale. Bonne lecture.


CHAPITRE I

Une nouvelle vie.

-Bonjour les enfants, dit Targo.
-Bonjour Grand-père, répondirent les enfants.
Targo était chargé, comme tous les soirs, de raconter une histoire à ses trois petit-enfants.
-Aujourd’hui, je vais vous raconter une véritable histoire, commença le grand-père. Mon histoire.
-Ton histoire, demanda Eridio ?
Eridio était l’aîné et le plus intelligent des enfants, il avait onze ans. Tila, la cadette et la plus jolie avait dix ans. Radik, le benjamin et le plus fort (même Eridio n’arrivait pas à le battre au combat) avait neuf ans.
-Oui, affirma Targo. Mon histoire à moi. Quand j’avais quinze ans, il m’est arrivé une aventure extraordinaire…
Nous étions en l’an milles neuf cent vingt-trois. La guerre faisait rage depuis trois ans, les Gridares avaient envahi le village, et ma mère venait à l’instant de mourir d’une flèche. Mon père, Régzo, avait très peur que je ne finisse comme ma mère.
-Cours, cria mon père. Cours le plus vite que tu le peux te cacher dans le grand arbre millénaire qui est dans la coure. Je vais prendre mon épée et essayer de repousser les ennemis. Je te rejoins dés que je le peux.
Mais je ne pouvais plus bouger. Aucun membre de mon corps ne voulait faire quoi que ce soit. J’étais paralysé par la mort de ma mère. Je voulais pleurer, mais je ne pouvais pas. Le corps d’Ilavia, ma mère, gisait devant moi.
-Cours, je te dis, cria encore une fois mon père.
Cette fois, mes membres réagirent. Je pris mes jambes à mon cou et courrai jusqu’à l’arbre. Là, je grimpai jusqu’en au sans me préoccuper de ce qui se passait en bas. Je m’arrêtai sur la branche la plus haute, pour regarder le désastre. La douleur fut telle, que mes larmes coulèrent à flot. Il était onze heures du soir, et tout brûlait. Mes yeux s’alourdirent d’un seul coup, et je m’endormis.
Lorsque je me réveillai, il était environs dix heure du matin. J’eus l’impression d’être arrivé au palais des Dieux, là où tous les gens qui meurent vont, tellement c’était calme. Tout était en cendre. Quelques survivants, environs six, cherchaient les gens de leurs familles sous les débris.
Je courus chez moi, espérant y trouver mon père vivant. Lorsque j’arrivai, mon père était par terre mais il avait encore un souffle de vie.
-Père, criai-je. Père.
-Mon fils, prononça Régzo d’une voix faible. Prends mon épée et retrouve le Lionnard, le Palais des Dieux, tu dois y aller. Ils t’ont chargé d’une mission importante, très importante. L’avenir de l’univers tout entier est entre tes mains.
-Quoi, demandai-je ?! Mais père, que raconte-tu ? De qui parle-tu en disant « ils ». Viens, nous trouverons bien quelqu’un pour te soigner.
-Ne t’occupe pas de moi, ordonna mon père ! Fais ce que je te dis. Adieu mon fils, et n’oublie pas, trouve le Palais des Dieux.
Sur ce, son souffle s’arrêta, et sa tête bascula. Je mis trois jours à m’en remettre. Mes parents étaient morts tous les deux en moins de vingt-quatre heures.
Après cette période, je creusai un trou au pied de l’arbre millénaire et y enterra mon père après avoir pris son épée, son argent et après avoir mit une planche sur sa tête et son torse.
Je devais trouver le Palais des Dieux, mais comment ? Je ne voyais qu’un seul moyen : me tuer. Je me suis fabriqué un couteau avec un bout de métal pour la lame, et du bois pour le manche. Je me suis mis juste à côté de la tombe de mon père, j’ai pointé la lame du couteau vers moi, j’ai pris de l’élan avec les bras, et... juste avant que la lame ne touche ma poitrine, l’arme disparu de mes mains. Deux secondes après, je m’évanouis.
-Bonjour Targo, dit une voix.
-Que s’est-il passé, criai-je ? Ou suis-je ? Suis-je arrivé au Lionnard ?
Je m’étais réveillé dans une grande salle blanche. Il n’y avait pas d’ouverture, et pourtant, la fraîcheur pénétrait la pièce. Il n’y avait pas de fenêtre, et pourtant, le soleil envahissait la salle.
-Je suis Kirado, dit le dieu. J’ai créé Oriquie, la planète la plus proche de Lonara.
-V...vous êtes Kirado, m’écriai-je ?! Mais alors je suis au Palais des Dieux ! Pourtant, le couteau ne m’a pas transpercé ?!
-Le « Palais des Dieux » s’étonna Kirado? Vos croyances ne sont pas toujours exactes, vous, les Oriquiens. C’est plus précisément, le Palais « du » Dieu : moi. Nous ne vivons pas tous dans le même palais. Chacun a sa maison sur la planète Yra, la planète des dieux. Enfin, venons en au fait. J’ai transmit un message à ton père pour qu’il te dise de venir au Palais. Tu dois venir, Targo, tu dois nous sauver, moi-même, je ne peux pas le tuer. Il va tous vous détruire, et nous aussi par la même occasion. Toi seul peux sauver l’Univers des griffes de ce criminel. Prends ceci, c’est une dague, elle t’aidera dans ta quête, et te la rappellera.
-Mais je suis là, dis-je ?!
-Non Targo, ce que tu es là, n’est qu’une projection astrale. Viens, et n’oublie pas Targo, toi seul peux nous sauver.
Tout devint flou, et je m’évanouis de nouveau.
Lorsque je me réveillai, je regardai mes mains.
-Ouf, dis-je dans un soupir. Pas de dague, je n’ai fait que rêver. Aïe ! Q’est-ce qui me fait mal dans le dos.
Je passa ma main dans le dos jusqu’au niveau de la ceinture, et là, ma main rencontra... un manche de dague. Je la pris dans ma main.
-Oh non, me lamentais-je. Tout cela était vrai alors. Bien, je vais la faire leur mission.
Je marchai jusque chez moi, rassemblai nourriture, boissons, vêtements, etcs... Tout ce dont j’avais besoin. Je mis tout cela dans mon sac à dos.
Je pris le fourreau de l’épée de mon père, l’accrochai à ma ceinture, et mis l’arme à l’intérieur.
-C’est le départ d’une nouvelle vie que je prends là. Je n’ai jamais vu le monde en dehors de mon village, Itira, mais je suis sûr que je réussirais la mission qui m’a été confiée.
Sur ce, je pris mon sac à dos, et partit vers la ville la plus proche, Dégora. Sur le sommet de la colline surplombant le village, je dis un dernier au revoir à celui-ci et passai la colline.

Je trouve ton histoire très intérèssant et bien construite mais il y a à certains endroits (le prologe notament) où l'on trouve de petits passages légèrement incompréensible.
En tout cas je t'encourage à continuer dans cette vois et à progressser.

Merci mattor voila la suite :

CHAPITRE II

Libération.

Je m’étais engouffré dans la forêt de Lotavia. J’y marchai depuis trois heures, quand j’entendis un bruit dans les buissons.
-Y a-t-il quelqu’un, m’inquiétais-je ?
Rien.
« J’ai dû rêver pensais-je. »
Je me remit à marcher. Il ne se passa rien pendant un certain temps, mais à un moment, le bruit recommença. Soudain, trois hommes sortirent des buissons. Ils portaient des foulards noirs sur les cheveux, d’autres foulards du bas du visage jusqu’au nez et étaient habillés en kimonos tout noirs.
-Qui êtes-vous, demandais-je ?
-Nous sommes des hommes du Cariame, dit un des hommes.
L’homme qui venait de parler s’avança. Il semblait que c’était le chef. Il reprit :
-Nous servons le Roi du Cariame. « Chaque personne se dressant sur notre chemin sera immédiatement envoyée au Cariame, cette prison géante. » Telle est notre seule règle. Nous parcourons le monde à la recherche d’autres prisonniers. Maintenant, assez parlé. Cardo et Pirdo, ligotez-le-moi !
Cardo et Pirdo semblaient être les noms des autres hommes. Ceux-ci me bondirent dessus. Ils me ligotèrent et m’enfermèrent dans une malle. J’étais tellement secoué par ces émotions que je m’évanouis.
Un fracas me réveilla.
« Ils doivent avoir posé la malle, pensais-je. »
C’était cela, en effet, car les hommes ouvrirent la malle et m’en sortirent. J’étais arrivé dans une grande salle avec un trône à l’opposée de la porte. Il était en haut d’un petit escalier de vingt marches. Contre les murs des côtés, se tenaient des hommes aux vêtements ornés d’or, quelques-uns un avaient des monocles, d’autres, des chapeaux de soie, etcs. Sur le trône, se tenait une personne un peu plus vieille que les autres. A côté de cette personne, il y avait une fille du même âge que moi, elle était aussi belle que la lune à côté des étoiles.
Le Roi et la fille d’à côté étaient en pleine discussion.
-Eh oui Corélia, ma fille, dit le roi. Demain sera la cérémonie. Et tu deviendras la reine de ce royaume. Je suis trop vieux pour gouverner, maintenant.
-Oui père, répondit la fille. Bien que je n’aie aucune envie de gouverner un pays qui ne fait qu’emprisonner des gens innocents.
-MAIS TU LE DEVIENDRAS QUAND MÊME, s’énerva le Roi ! QUE TU EN AIES ENVIE OU NON !
La fille s’assit sur une chaise à côté du trône et se tut.
-QUE VOUL..., commença le Roi en s’adressant à nous. Excusez-moi, je suis énervé. Que voulez-vous, Aliadros, mon fidèle homme de main ?
-Nous avons attrapé ce môme, roi Elivro, répondit l’homme de main en me montrant du doigt. Il était dans la forêt de Lotavia.
-On ne montre pas du doigt, lui dis-je.
Soudain, sans que je ne m’en aperçoive, un poing m’envoya valser au pied de l’escalier menant au trône du roi. C’était Aliadros qui m’avait frappé.
-Ah, dit Elivro ! Quinze ans et déjà mal élevé ! Emmenez-le dans la prison des gosses.
Aliadros et ses deux compagnons m’enfermèrent dans une cellule à barreaux et me laissèrent là, avec pour seule nourriture, un petit bout de pain sec et de l’eau de mer.
Vers trois heures du matin, j’entendit des bruits de pas.
-Qui est là, demandai-je ?
-Chhht, dit une voix. Ce n'est que moi.
-Qui, m'étonnais-je ?
-Moi, répondit le chuchotement. Corélia, la fille du Roi. Je te libèrerais à une condition.
-Laquelle, demandais-je soupçonneux.
-Que tu m'emmène avec toi loin d'ici, dit la fille brusquement.
-Quoi , m’écriais-je ?! Mais tu es folle ! Ce serait comme un enlèvement ! Si on se fait prendre, c’est moi le coupable.
-Mais qu’as-tu à perdre, me questionna Corélia ? De toute façon, tu es emprisonné à vie ici.
-... A vie, me dis-je doucement.
-Oui a vie, me répéta la future reine.
-Mais j’ai une mission, me rappelais-je soudain !
-Une mission, s’étonna la fille du roi ?
Je lui expliquai alors tout, depuis l’incendie, jusqu’à la prison.
-Je vois, reprit-elle. Emmène-moi avec toi, je t’aiderais dans ta mission.
-Ok, soupirais-je. Libère-moi.
Corélia sortit de l’ombre où elle était restée durant la conversation. Elle avait une robe bleue avec des étoiles de mer de toutes les couleurs. Elle sortit une clef d’argent de sa robe et la mit dans la serrure. Elle ouvrit la porte et je sortis, Elle me conduisit vers la sortie. En passant devant les autres cellules, je vis qu’il n’y avait que moi comme prisonnier enfant. Elle me conduisit à une écurie, où nous prîmes chacun un poney.
-Ils ne vont pas très vite, mais ils peuvent porter des charges lourdes, et ne se fatiguent pas beaucoup, m’expliqua-t-elle.
-Mon sac, me rappelais-je soudain !
Elle me tendit mon sac en disant qu’elle l’avait prise au garde en même temps que la clef. Je le mit, et nous montâmes sur les poneys.
-Ton poney s’appelle Grodo, et le mien, Carimal, m’éclaira-t-elle. Viens, je vais te conduire loin d’ici.
Nous partîmes alors pour la route sans que personne du château-prison ne soit alerté. Nous allâmes au galop (ce qui pour un cheval normal, est le trot) tout le restant de la nuit.

Mais donne mpoi un ex. de passage incompréhensible. Je vois pas des quels tu veus parler.

Quand j'avais dit "incompréhensible" c'était pour te dire que à certaine moment ton vocabulaire était mal utilisé(rasure toi cela arrive très rarement de plus on arrive facilement à comprendre se que tu dit).

1.Par exemple:[...] -"Quoi , m’écriais-je ?! Mais tu es folle ! Ce serait comme un enlèvement ! Si on se fait prendre, c’est moi le coupable."

2.A ta place j'aurez dit:[...]-Quoi , m’écriais-je ?! Mais tu es folle ! Ce serait comme un enlèvement ! De plus, Si on se faisait attraper, c’est moi que l'on prenderai comme coupable !!!

Mais, c'est toi le boss, donc fait comme il te plaît !!!
(en tout cas je te le redit ton histoire et géniale à quand la suite ?)

J'ai pas beaucoup avancé, pasque l'ordi était dans les cartons (J'ai déménagé) , mais je poste la suite dés que je peux !

t'as déménager t'habitais où avant ?

J'habitait à St-Brieuc, et j'habite maintenent à Nantes

Excuse moi mais j'ai de la peine à tout lire par l'ampleur des chapitres I & II, je sais pas si je vais continuer même si j'ai déjà lu le III bien que facile et pas trop long surtout (plus d'une vingtaine de ligne longues et pures et j'affolles déjà).
Sorry man

Ca me fait pareil moi aussi. Mais faut te lancer. Quand tu es dedans, ça va tout seul. ^^

Je vien de lire les deux premiers chapitres et c'est génial continu comme ca^^
je lirai le troisième chapitre demain

Ca y est j'ai tout lu
Un chef d'oeuvre^^
Encore bravo
Continu comme ca j'aimerais bien savoir la suite^^

Merci pour tes compliment zemachinchose ! (et tous les autres aussi bien entendus !
Voilà la suite. Elle n'est pas très longue, mais dites moi si ça ne va pas.

CHAPITRE III

Une révélation surprenante.

A l’aube, nous nous arrêtâmes pour regarder si nous n’étions pas suivis.
-Du calme Grodo, dis-je à mon poney pour qu’il s’arrête. Arrête-toi.
-C’est bon, dis Coralia. Ils ne nous suivent pas. Nous pouvons faire une pause.
Je me rendis compte alors que j’avais très soif. Je le signalai immédiatement à ma nouvelle amie.
-Oh ! me dit-elle en rigolant. Pour ça, pas de problème !
Elle prononça bas « veridro », et un verre d’eau apparu dans mes mains. Me regardant, elle vit mon expression, et m’expliqua rapidement.
-Je vais t’expliquer, m’éclairci-t-elle. Il y a très longtemps, le monde venait d’être créé, les quatre déesses ailèmanterre, (ce qui signifie « les ailes de la terre » en dialoctare, le langage des Dieux) voulurent aller sur Oriquie, la planète de leur père. Karido refusa catégoriquement, bien entendu, ne voulant pas que les Oriquiens découvrent l’existence des Dieux. Elles essayèrent toutes les ruses pour pouvoir enfin découvrirent le monde. Mais une des sœurs eu une idée. Elle dit à son père qu’elles espéraient se trouver un mari sur la terre de leur père. Kirado les regarda d’un air abasourdi, et accepta enfin. Sur Oriquie, elles durent se marier, bien que cette histoire de mariage ne fût qu’une ruse, car le père des jeunes déesses les observaient, et épiait tous leurs mouvements. Sur la planète peuplée, elles découvrirent qu’elles avaient des pouvoirs. Chez les dieux, les pouvoirs n’apparaissent qu’à l’âge de trente ans, mais sue Oriquie, c’était différent. Aéranpa, qui était très pure et sage, avait l’air, Aquydra, qui était très douce, avait l’eau, Fokyra, qui était très colérique, avait le feu, et Terraïa, qui était très joyeuse, avait la terre. Et depuis, tous ceux qui viennent de ces familles ont leurs dons. Nous les appelons « les lignées ». La lignée d’Aquydra a le pouvoir de l’eau, La lignée de Fokyra a le pouvoir du feu, la lignée de Terraïa a le pouvoir de la terre, et la lignée d’Aéranpa a le pouvoir de l’air, moi, par conséquent, tu a sûrement deviné que je viens de la lignée d’Aquydra. Mais ce que je t’ai raconté n’est que partiellement vrai, car depuis plusieurs génération, le pouvoir n’existait plus. Mais à notre génération, cela a recommencé. Je ne sais pas pourquoi c’est maintenant, et non du temps de mes grands-parents ...
Je ne pus pas lui répondre, car déjà les chevaux du roi se profilaient à l’horizon. Voyant cela, la princesse me pressa.
-Dépêche-toi, me dit-elle ! Allons nous cacher.
Je bus mon verre en vitesse, et sautai sur mon poney. Nous allâmes au plus profond de la forêt.
-Cette forêt n’a pas la réputation d’être hanté, demandai-je après que nous soyons hors de vue et après avoir caché les poneys ?
-Oh, me lâcha-t-elle comme si j’était malade ! Tu ne vas tout de même pas croire quelque chose comme ça ! Cela n’arrive que dans les contes ! Un grand guerrier comme toi aurai peur d’un bois, ajouta-t-elle se moquant !
-Mouais, fis-je en faisant la moue ...
Tout à coup, me fourrant dans les buissons pour attendre que les chevaux royaux passent, j’entendis une énorme plainte venant de partout et nulle part ...

C'est génial

Merci zemachinchose !!