Warkü l'envoyé de Skorm

L'aparition

C'est un jour où tout semblait paisible, les oiseaux chantaient, le printemps arrivait, les amours naissaient que les premiers évènements se firent sentirent. Pendant de longues semaines, des chants s'élevaient de la chapelle de Skorm, résonnant, par un mystérieux maléfice, dans tout l'Albion. Pendant de longues semaines, les habitants d'Albion étaient inquiets, ils savaient que ces adeptes du sacrifice et du mal préparaient quelque chose, sans savoir quoi. Puis, aprés la 6éme semaine, les chants se turent. Un lourd silence tomba autour de a chapelle de Skorm. Une dizaine de marchands, qui parcouraient la route avant le début des chants, avaient repris leur chemin vers Barrow Fields. Ils n'attégnirent jamais leur destination. De nombreux gardes furent envoyés sur les lieux pour éclaircir le mystére de ces disparition...aucun ne revint. Ce manége dura encore 6 semaines. À la 6éme semaine, une troupe de gardes arriva enfin sur les lieux, ils trouvérent dans la chapelle les corps des marchands, des gardes, mais aussi des prêtres de Skorm. Cela les étonna fort car les marchands ne s'aventuraient JAMAIS dans ce lieu de mort et de désespoire et les prêtres de Skorm ne se serait pas laissé tué par de misérables marchands. Et puis, autour de la Chapelle de Skorm, tout était brulé, rien avait résisté. Touts les arbres, les rochers étaient brulés, fondu. Mais également les petites buttes, tout était ramené au même niveau, ce qui avant était de grande collines était devenus une plaine aride et couverte de cendres. Seule restait la chapelle, immense, plus sombre que jamais. L'autel qui, avant, était destiné aux sacrifices était en train de grandir. Aprés 6 autres semaines, la flamme dépassait les 2 métres et une curieuse forme. Aprés 3 semaines, la forme devient plus précise, elle ressemblait vaguement à un homme composé d'ombres. 3 semaines plus tard, la flamme libéra un étrange personnage, grand, cornu, une queu lui sortant du dos, une peau blanchâtre et une lueur de mort dans le regard.
Warkür était né!

L'initiation

Warkür ne savait pas exactement ce qu'il était venu faire dans ce monde qui ne lui inspirait que dégout et envie de meurtre. Mais lorsqu'il se retourna vers l'autel des secrifices, une voix résonna dans sa tête:
"- Bien... tu es trés réussi, mes disciples ont bien travaillé!
- Mais... qui êtes-vous? demanda Warkür d'une voix malhassurée et avec un accent qui ne venait d'aucun coin de l'Albion.
- Je suis Skorm, dieu de destruction, de désespoir et de malheur. Je suis ton maitre!
- Je... moi? Mais qu'entendez vous par là?
- Je veux dire que tu es ici parce que JE l'ai décidé! C'est grace à MOI que tu peux respirer et que tu peux bouger! Répliqua Skorm légérement irrité.
- Mais, pourquoi avoir fait tout ça?!
- Parce que je veux te confier un travail qu je ne peux pas enfin... que je ne peux PLUS faire.
- Mais quel travail?
- Tu es arrivé dans ce monde que l'on appelle l'Albion, pour semer la terreur, les habitants vivent heureux depuis trop longtemps! Ils se croivent en sécurité avec ces maudits héros qi parcourent les routes en supprimant MES créatures! Tu dois absolument arrêter ça!
- Pourquoi?
- PARCE QUE JE SUIS TON MAITRE ET QUE JE TE LE DIS!! hurla Skorm, mais cette fois-ci, plus dans la tête de Warkü, tout haut, d'une voix qui résonna dans tout l'Albion pendant plusieurs minutes. Je savais que ces misérables prêtres rateraient quelque chose! reprit le dieu plus calmement.
- He ho? il y a quelqu'un? hurla une voix qui venait de la route menant à la Chapelle.
- Des marchands! s'exclama Skorm. Bon sang! Tant pis pour la discrétions, te recréer prendrais plusieurs mois! ARKWAL!
Une fois ce dernier mot prononcé, la flamme de l'autel explosa mais sans rien brulé, juste en émettant une aveuglante lumiére. Lorsque la lumiére disparu, tout était redevenu comme avant les chants des prêtres de Skorm, a végétation avait repoussé, les collines s'étaient reformées... Seule la Chapelle de Skorm avait disparu.
Les marchands qui était sur le chemin d'Okvale, étaient venu se rendre compte des dégats de la lumiére. Il furent trés surpris de voir la place où, il y a encore 5 minutes, se dressaient l'immense Chapelle où était organisé de nombreux sacrifices. Ils furent encore plus surpris de voir un corps, le corps d'un homme cornu, blanc, trés blanc. Lorsque les marchands s'approchérent du corps, celui-ci se dressa violement en empoignant par la gorge le colporteur le plus proche. Le géant serra si fort que la tête du malheureux explosa. L'autre marchand tenta de s'enfuir, mais Warkü le ratrapa sans probléme. Une fois devant le microbe, il sourit et lui envoya un coup de poing dans le ventre tellement violent que la cage thoracique du vendeur explosa.
Dans le royaume des dieux, Skorm sourit.
"Je ne pourais peut-être plus lui parler, mais cela valait le coup!"

L'entrainement

Warkü laissa les deux cadavres là et se dirigeat vers le camp des marchands d'où il sentait venir des odeurs de vie...des odeurs qui lui donnait des idées de meurtres! Aprés quelques pas, il vit de petites créatures se battant contres des hommes qui ressemblaient à ceux qu'ils venaient de tuer. Les petites créatures étaient en difficulté. Warkü pris son élan et s'élança dans les airs. Il retomba sur un des marchands, le coude en avant, la nuque du pauvre marchand émis un léger "croc". Les autres marchands se retournérent. Le monstre en compta 9. Il les tua tous, de maniéres toujours plus diabolique. Une fois les marchands neurralisés, il regarda les minuscules créatures, elles étaient trapues et blanchâtres. Elle utilisaient de grands bouts de bois comme armes. Une voix dans sa tête résonna "Hobbes....Hobbes...."
Dans le domaine des dieux, Skorm se réjouissai: "Parfait! Tous ce que je lui ai appris n'a finalement pas été détruit! Il reconnait MES créatures! Il ne leur fera aucun mal!"
Au m^me moment, Warkü saisi un bout de bois et l'enfonça dans le crane du Hobbes le plus proche.
"NOOOOOOOOOOOOOOOOOOON ABRUTIS!" Hurla Skorm, mais cette fois-ci, ça voix ne résonna que dans le monde des dieux. "Cet idiot se rapelle du nom de mes créatures, mais pas du respect dont il doit faire preuve! Il est dangeureux pour l'Albion tout entier!" Skorm réfléchi "Mais... mais c'est parfait! Tout bonnement parfait! AHAH! L'Albion m'appartiendra tout entier! Mes créatures ne pouront pas se mettre au travers de mon chemin lorsque je repeuplerai l'Albion d'êtres supérieurs! C'est merveilleux! Continue petite marrionette, continue!"

Une fois tous les Hobbes anéantis, Warkü repris la route du camp des bandits. Il avait les mains tachées de sang Hobbes. Une fois arrivé au camp, il senti que les marchands, récement implantés, ne l'appréciait pas. Il cachèrent leurs bourses et regardérent le nouveaux venu étrangement. Celui-ci ne semblait pas dérangé par ces regards. Il souri. Il se dirigeat vers un des marchands, il le regarda un sourire bizarre aux lévres. Un homme portant une armure épaisse et une lourde épée se leva en criant à l'intention du géant:
"Holà toi! Que vients tu faire ici? Si tu cherhce les ennuis, tu vas les trouver!"
Warkü regarda l'effronté, sans changer son sourire.
"Je viens de la Guilde des Héros!" reprit le chevalier, légérement hésitant "J'ai suivi un entrainement intensif! Et ce n'est pas un vagabond comme toi qui va m'inpressioner!" Warkü ne changeat en rien son sourire. Aprés quelques instants, il leva la main, jusqu'a ce que ses griffes touchent presque le cou du marchand. Il plia le coude, comme si il prenait son élan. Le héro compris, mais trop tard! Warkü déplia son coude violement et enfonça profondément ses griffes dans le cou du vendeur. Celui-ci émis un metit bruit et tomba par terre. Warkü, les mains tachées de sang, souriait encore. Le héro mis un moment à réagir. D'abords, son visage fut surpris, puis devint triste, un petite seconde, et soudain, le visage du héro se rempli de colére. Il sorti l'épée de son foureau et se jeta sur le tueur. Celui-ci ne bougea pas. Le héro leva sa lame et l'abatti en direction du bras de Warkü. La lame toucha son but, elle s'enfonça dans le bras de Warkü. Son possesseur ne souriait plus, il comptemplait sa blessure. Elle saignait abondement mais ne semblait pas faire soufrir Warkü. Il était interressé par cette expérience nouvelle. Mais aprés un moment, il souleva brusquement son bras, le héro qui était encore agrippé à son arme, fut expédié dans les airs. Il retomba lourdement sur la tente d'un des machand. Warkü sori l'arme de son bras et la lança en direction d'un marchand qui essayait de s'enfuir. L'épée transperça le fuyard et provoqua sa mort. Il se dirigeat ensuite vers le héro qui était encore, miraculeusement, en vie. Warkü se saisi pas le cou et le souleva à plus de deux métres du sol. Il lui demanda d'une voix hésitante et peu à l'aise:
"Quoi... quoi être Guilde des Héros?"
Le Héro toussa, lançant une gerba de sang à la figure de Warkü. Celui-ci resta indifférant.
"OÙ CA ÊTRE? OÙ ÊTRE GUILDE DES HÉROS?"
Le héro, en un dertnier geste désigne la route qui passait devant le camp. Warkü compris qu'il devait la suivre. Il laissa tomber le héro, lui portant ainsi le coup de grace. Il courut sur la route, ne s'arretant jamais. Aprés une journée de marche, il arriva enfin aux portes de la Guilde. Il les poussa, l'odeur qui sortait de ctte batîsse lui donna envie de tuer tout le monde. Il ne savait pas pourquoi, mais il ressentait ce besoin. Il se controla tant bien que mal, il savait pourquoi il était venu ici. Un homme vêtu d'une tunique noire avec une capuche qui lui retombait sur les yeux lui demanda d'une voix tranquille:
"Monsieur? Que voulez-vous?
- Je vouloir entrainement intensif... répondit Warkü avec une voix moins hésitante que la veille.
- Oh! Vous voulez vous entrainez? Ma foi, depuis que je suis chargé d'acceuillir les nouveaux venus, plus rien ne m'étonne! Mais si un géant cornu et ayant les mains tachées de sang, je ne discute pas! Je suis payé poiur vous emmener au bureau du maitre de la Guilde, donc, je voius ememène au bureau de Maitre de la Guilde..."
Le garde avait dis ça en marchant. Pendant cette marche, Warkü regardais autour de lui, il voyait des femmes et des hommes qui se promenaient, repirait l'air frais, bref, des personnes tranquilles. Mais pourtant, le moindre geste de ces personnes donnait à Warkü l'envie de tous les tuer, pendant la durée du trajet, Warkü avait imaginé une centaine de façon de suprimer éfficacement les aprentis.
"Nous y sommes!" ces paroles du gardes sortiren Warkü de son demi-sommeil. Devant lui se dressait un petit homme au crêne chauve et portant un étrange symbole sur le front. Il déclara en voyant Warkü:
"Bien, bien, bien, vous voulez entrer dans la Guilde, c'est ça? Bien, commençons l'entrainement immédiatement!"

Ainsi, durant 10 ans, Warkü suivi les cours de la Guilde. Le maitre de la Guilde essayait de lui inculquer les idées principales du héro, suver des vies, etc.. mais ces paroles eurent l'efet inverse sur Warkü, plus les années passaient, plus il avait envie de détruire la Guilde entiére. Mais il réussi à ce retenir, au bout de 10 ans, il fut relaché et put partir de la Guilde. Il se sentait plus fort, plus malin, maintenant, il parlait correctement. Mais surtout, il avait appris une science qu'il n'avait nu vu, ni entendu parler. La magie. À sa sortie de la Guilde, il regarda sa main. Il ne se doutait pas qu'elle possédait une telle puissance, il se rapella de son exmen de magie, il devait utiliser le sort "Foudre" sur un mannequin, il avait utilisé le sort et le manequin avait explosé. Il fut sortit de sa torpeur lorsque Léo, le vendeur de titre de Héro arriva cer lui en lui demandan:
"Vous venez de sortir non? Alors? Comment voulez-vous que l'on vous appelle maintenant? Chasse-Poulet? Rôdeur? Maleficius?
- Warkü... Je veux m'appeler Warkü!
- Warkü? répéta Léo. C'est original! Ahah! Je n'avais jamais entendu ça! AHAH! Warkü! Mais réelement? Comment voulez-vous vous appelez?"
Warkü compris alors que ce vulgaire marchand se moquait de son nom. Il l'attrapa par la gorge... et puis réfléchi, on lui avait offert un Katana avant sa sortie de la Guilde. il laissa tomber Léo et sorti l'arme. Il lança cette derniére en l'air, il avait gagné en puissance musculaire lors de son séjour ce qui eu pour effet de faire voler l'arme loin, loin dans le ciel. Léo regardait l'arme s'élever, il ne compris pas ce qui le frappa au ventre, c'était le poing de Warkü, ce coup était si puissant qu'il fit valser Léo à plus de 10 métres. Léo essaya de se relever pour courir, mais il entendi un sifflement. Lorsqu'il réalisa ce qui émettait ce siflement, il était trop tard. Le Katana de Warkü était retombé, pointe en avant, dans l'estomac de Léo. Warkü explosa de rire. Un rire effrayant. Léo tenta de se libérer, mais en vain. L'arme l'avait transpercé et l'avait cloué au sol. Warkü s'pprocha et retira violement l'épée du sol, comme si il s'agissait de beurre. Il la rangea dans son fourreau et parti, laissant Léo en proie aux pires douleurs. Warkü parti vers Bowerstone. Sa vraie vie commençait.

J'ai hâte de lire la suite !

Bowerstone

Warkü se dirigeat donc vers Bowerstone. Il avait entendu dire, durant son séjour à la Guilde, que c'était la ville la plus riche d'Albion.
Il arriva à la croisée, un marchand vint à lui, en lui demandant:
"Ah! Un nouveau héro! Et bien mon ami, cela vous lairait-il de gagner un peu d'argent?"
Warkü acquiéssa, on lui avait donné un peu d'argent en sortant de la Guilde mais on lui avait dis "qu'on a jamais assez d'argent!"
"Bien! repris le marchand, j'ai besoin d'une excorte pour aller à la Ferme au Verger. Exepteriez-vous de m'escrortez?"
Warkü refusa, il voulait aller à Bowerstone, et il irait! Le marchand fut afreusement vexer, il injuria Warkü...enfin, injurier, c'est-à-dire quy'il à prononcé "Co..." aprés ces mots, Warkü avait décapité le colporteur, il fouilla dans les poches du cadavre et trouva 200Po, il les prit. Il trouva également une hache de, il la mit dans son paquetage. Il se dirigeat ensuite vers le pont qui menait à Bowerstone. Une fois au portes, le garde lui enseigna les quelques lois de Bowerstone.
" Pas d'armes ici! C'est un lieu calme, et je suis là pour que cela le reste!" Il dis ça en dirigeant sa main vers le Katana de Warkü, à ce geste, toute la colére que Warkü avait accumulé lors de son entrainement à mla Guilde ressorti sous forme d'une folie meurtriére. Ses yeux devinrent rouge vif, presque de flamme. Il dégaina son arme et trancha la tte du garde en 2 secondes. Ens uite le 2éme garde porta sa main au pommeau de son épée. Warkü lança la hache qu'il avait récupéré sur le marchand, vers le 2éme garde. En temps normal, il aurait fouillé les corps pour trouver de l'or et des armes mais là, la fureur qui brulait en lui était bien trop grande. Il ouvrit les portes de Bowerstone d'un grand coup de pieds. Les gardes semblaient déjà au courant de ses actes car ils attendaient le tueur de garde de pieds ferme. Certains s'étaient postés sur le toits des maisons armés d'arbalétes et d'arc. Les autres attendaient l'épée à la main. Warkü les regarda tous. Il sourit. Il allait enfin pouvoir expulser la haine qu'il avait en lui. Les deux camps restérent un moment immobiles, puis, une fléche émis un siflement. Elle alla se loger dans la porte gauche de la ville, ce fut le "coup d'envoi" Les gardes se jettérent sur Warkü, celui-ci les laissa avancé et, brutalement, sorti son katana et trancha la tête du garde le plus proche. Ensuite, il souleva un garde pour le mettre devant la trajectoire d'une fléche. Le garde hurla de douleur. Warkü le laissa tomber et fit un tour sur lui-même, épée en avant, il tua 6 gardes de cette maniére. Il se précipita ensuit sur les gardes qui essayaient de s'enfuir. Il les tua tous. Une fois les gardes a terre, il se concentra sur les archers. Ils sortit son arc, le banda, fit une roulade pour éviter une fléche, et tira. Un archer tomba. Les autres furent déconcentré par cette chute. Warkü en profita, il tua les deux autres archers. Il ne restait plus de mais sa haine était toujours présente. Son regard croisa celui d'un vilageois qui s'empressa de fermer les rideaux de sa demeure. Warkü lança son épée longue, arme qu'il n'utilisait pas beaucoup, la lame traversa les vitres de la maison du villageois. Un cri s'éleva et tout les villageois sortirent de leur maisons en essayant de s'enfuir. Warkü réussi à en tuer plus des trois quart. Les autres prirent un batteau et s'éloignérent des côtes. Surement pour ne plus jamais revenir. Warkü restais là, au milieu des corps, son katana ensanglanté et sa haine encore présente. Il devait encore tuer, encore, encore et encore...mais plus ici, il n'y avait plus personne. Il se rappella des paroles du marchands qu'il vait rencontré avant d'entrer dans Bowerstone.
"Okvale..." murmura Warkü. Il sorti de Bowerstone et se dirigeat vers la croisée. Là, il vit un panneau indiquant "Okvale" Il se dirigeat par là. Sur le chemin, il rencontra bon nombre d'ennemis et de marchands. il les tua tous, sans exceptions! Une fois arrivé à Okvale, il se passa quelque chose étrange en lui...

Okvale

Il voyait les maisons en feu, les enfants qui hurlaient, les méres qui s'enfuyaient... Il vit aussi un petit enfant. Warkü n'éprouva que de la colére à l'idée de cet enfant. Il ne savait pas pourquoi mais il n'essaya pas de trouver le solution, il devait tuer des gens, il le sentait.
"C'est donc toi l'homme qui à détruit Bowerstone?"
Warkü sortit de sa torpeur. Il vit une douzaine d'homme en armure.
"Calme toi Marcus, ce type est peut-être plus dangeureux que tu ne le crois!" Repris un autre homme en armure.
"Et alors? Nous sommes des héros de la Guilde non? Rien ne nous fait peur! Surtout pas un monstre comme ce mec!"
"Il a raison! Rien qu'a voir ce type on devine que c'est une mauviete! Laissez le moi!" cria un autre homme. Il s'avança vers Warkü, soulevant une énorme hache de combat.
"J'm'apelle Helius, et j'uis là parce que t'a fait une grosse bétise! T'aurais jamais du attaquer Bowersone!" Il termina sa phrase en se précipitant sur Warkü, la hache au dessus de sa tête. Warkü décida d'utiliser la magie. Il se téléporta dans le dos du héro et lui coipa un bras. La hache retomba lourdement sur Hélius.
Warkü sourit.
"Qui est le suivant?..."
Les héros étaient pétrifiés. Comment un misérable démon aurai-t-il put neutraliser un de leur ami?
"Personne? Je vais en predre un au hasard.." repris Warkü en se précipitant vers le héro le plus proche. Celui-ci ne bougeat pas, il était encore sous le choc. Sa tête toucha le sol avant qu'il rélise que Warkü était déjà devant lui. Les héros se dispérsérent et, aprés quelques mouvements compliqués, encerclérent Warkü. Celui-ci ne changeat pas son attitude.
"Parfait..."songeat-il.
Il lacha son arme et se positionna de maniére étrange. Il hurla. Un cercle de feu apparu sur le sol et des inscriptions étranges apparurent également. Les héros qui n'avaient pas encore compris, donnaient de grands coups d'épée sur Warkü qui semblait être entré en transe. Il sentait les coups mais n'éprouvait aucune douleur, il voyait le sang couler mais ne faisait rien pour éviter les coup. Soudaine, il émis un autre cri. Les inscriptions sur le sol se firent plus nets et d'immenses colonnes de feu sortirent de la terre, carbonisant les héros trop proches et les maisons allentour. Lorsque Warkü revint dans le mond réel, il ne restait que deux héros, les autres étaient reduis en cendres. Les deux héros se regadérent, puis, levant l'épée, se ruérent sur Warkü. La fureur leur fit oublier toute logique. Warkü les tua en un tour de main.
Aprés l'exécution des héros, Warkü entreprit de visiter le village. Ce fut vite fait. Il ne restait plus aucun villageois, et les maisons étaient désertes. Il décida alors de se diriger vers le port. Là, il ne trouva plus aucun bateau.
"Ils ont fuis...ILS ONT FUIS!!!!!" Warkü était hors de lui. Il devait satisfaire son besoin de turie.
"C'est toi qu'a fait tout ça?"
Warkü se retourna. Un étrange homme se dressait devant lui. Il portait un bandana qui lui dissimulait le visage.
"J'uis un bandit et j'viens pasque on a entendu des cris. Apparament, c'est toi le responsable."
Warkü retint son arme. Il vait terriblement envie de tuer cet homme qui l'abordait si brutalement mais il avait compris que cet homme avait des amis
"Je vais tous les tuer! TOUS!" pensa Warkü
"Bon, not' chef veux t'voir... suis moi!"
Warkü suivi l'homme, il l'entraina devant une immense porte de bois. L'homme vria un mot de passe que Warkü ne retint pas. La porte s'ouvrit sur un chemin jalloné par des autres hommes masqués.
"J'vais pas plus loin! J'uis sensé gardé l'entrés. Sui l'chemin et tu trouvera un mec qui t'conduira vers not' chef. Bienvenue dans l'monde des Bandits mon gars!" L'homme retourna vers Okvale.